Constance m’aura détruite. A petit feu. En toute discrétion. Je me suis perdue en quittant Nancy. Et j’espère me retrouver en arrivant à Paris. Petit à petit. J’aurais versé des litres de larmes. Dégoût, tristesse, rage, désespoir. Des litres de larmes à en avoir mal au ventre et à la tête. Mal au cœur. Surtout.
Lambeaux du 08/06/2011