Jeudi 27 octobre 2011 à 23:36
Mercredi 12 octobre 2011 à 20:34
Jeudi 6 octobre 2011 à 23:40
L’été a commencé. Le vrai. Celui chargé en rires de moussaillons, en bêtises de moniteurs et en batailles de tongs. Celui qui donne un sourire à s’en fendre les joues et une bonne humeur à ne plus savoir quoi en faire. Celui qui épuise et qui fait revivre. J’ai rendu les clefs de Constance et tourné la page. Un nouveau départ avec la voile et Paris. Des envies et de l’espoir. Le sourire est de retour. Pour de bon. L’été sera doux et la rentrée une Merveille.
Lambeaux du 24/07/2011
Jeudi 6 octobre 2011 à 23:38
Le tonnerre. La pluie qui permet enfin de respirer. Chaleur moite et étouffante. Les corps se dénudent. Jupes et robes. Épaules nues. Et cette pluie soudaine. Cheveux mouillés. Course rapide à la recherche d’un abri. Et je traîne. On traîne. Je danse. On danse. Et on rit à s’en fendre les joues. Les regards des autres ne nous frôlent même pas. Une bulle de folie. Deux corps mouillés sous la pluie. Manège incessant. Délice d’été.
Lambeaux du 29/06/2011
Jeudi 6 octobre 2011 à 23:37
Des retrouvailles au goût sucré et amer. Nuage de douceur s’opposant avec le nœud sur l’estomac. Des rires, des mots et une ballade parisienne interminable. Le corps à corps, la chaleur de nos peaux, les gestes prudents, timides à la recherche de repères oubliés. Le temps est passé, les choses n’ont pas changé. Des sentiments, de la tendresse, complicité retrouvée. Et la distance. Qui complique tout, qui sépare les cœurs. Telle un ravin, infranchissable. Il n’y a plus de mots, le problème est toujours le même. Les kilomètres ruinent ma vie. En amour. Je les hais. Du plus profond de mon être. Cette distance qui me prive de vivre avec le cœur léger. Qui étouffe les sentiments, et la moindre relation dès le départ. Malgré les instants de douceur infinie. Malgré la complicité, les rires et l’envie. Malgré tout.
Lambeaux du 24/06/2011